Budget participatif #2

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Étape 2 sur 4

Analyse des propositions 09/12/2024 - 04/05/2025

Étapes de la concertation

Changements sur "Replantation des 2 arbres historiques de la place Saint-Jean à Lyon "

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Titre

+{"fr"=>"Replantation des 2 arbres historiques de la place Saint-Jean à Lyon "}

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+["Le Vieux-Lyon, site historique, vivant, habité et durable \nLe projet de plantation d’arbres sur la place Saint-Jean est une très ancienne demande de la Renaissance du Vieux-Lyon\nEn 2020, un collectif citoyen d’acteurs-trices (habitant.es, commerçant.tes, associations), est né, mobilisation sans précédent, autour d’un objectif : la végétalisation du Vieux-Lyon. \nLe Vieux-Lyon présente un triple caractéristique qui en même temps constitue un triple défi :\n- défi patrimonial, historique et culturel au cœur du Site Patrimonial Remarquable (SPR),\n- défi naturel et végétal entre Saône, colline et Parc des Balmes,\n- défi thermique lié au réchauffement climatique.\n\nLa place St-Jean, au cœur du quartier Saint-Jean, minérale et totalement exposée au soleil, subit une chaleur permanente tout au long de la journée durant l’été.\n L’intention est ici de planter deux arbres, le premier dans l’angle nord-ouest de la place (au niveau du 7 place Saint-Jean) et le second situé au sud-est à l’angle du bâtiment du Centre scolaire des Lazaristes proche de la place Edouard Commette (au niveau du 3 place Saint-Jean). Cela permettrait de ne pas masquer les bâtiments remarquables.\n Les pieds de ces arbres seraient végétalisés et associés à l’installation de bancs de repos ou à palabres.\n\nValeur Patrimoniale\nLe concept de végétal patrimonial est ici particulièrement manifeste. Le projet présente en effet une valeur patrimoniale et symbolique forte du fait qu’on découvre ces arbres à travers différents plans et autres documents parus sur une période de 5 siècles.\nOn observe que les arbres qui ont été présents sur la place Saint-Jean ont été, entre autres, des chênes.\n Ils constituent, d’un point de vue historique, des éléments remarquables contribuant à valoriser l'environnement patrimonial et à lui rendre son atmosphère vivante d’antan, tout en permettant de s'asseoir à l'ombre pour admirer la façade occidentale de la cathédrale.\n\nLes raisons :\n1/ L’inconfort d’une place exclusivement minérale La place Saint-Jean est la seule du Vieux-Lyon à être privée de verdure. Les personnes et les groupes n’ont rien pour se protéger du soleil lorsqu’ils s’attendent pour un rendez-vous et lorsqu’ils contemplent et commentent la cathédrale et les maisons canoniales. La chaleur en été est de plus en plus forte et pourrait être réduite par un peu de végétation et d’ombrage.\n2/ Une (petite) contribution à la lutte contre les changements climatiques Ce ne serait qu’une goutte d’eau, mais c’est ce que nous pouvons faire à cet endroit.\n3/ Pendant plusieurs siècles, il y a eu deux arbres sur la place Nous allons en suivre l’existence pendant quatre siècles dans « Le Pardon annuel à Saint-Jean de Lyon ». Il s’agit de deux gros livres de 1914 et 1918 dans lesquels Alphonse Sachet décrit l’évolution du Pardon mais aussi toute la vie liturgique et matérielle du grand cloître de Saint-Jean de 1393 à 1790. \nCes livres sont consultables à la Bibliothèque de l’Académie et à la médiathèque municipale.\nTome 1 - Page 232, est indiquée la présence de DEUX ORMES, l’un au sud, l’autre au nord de la fontaine, pour la période 1393-1476\nTome 2 - Pages 322-323, DEUX TILLEULS sont plantés en 1603 remplaçant les ormes. Pages 564-565, les vieux tilleuls sont abattus sans être remplacés, sur décision du chapitre des chanoines, en 1780.\n\nLe Projet\nNous n’envisageons pas de reproduire la disposition historique des arbres, afin de préserver les vues sur la cathédrale et sur les maisons canoniales des XVIIe et XVIIIe siècles.\nAu sujet du choix de l’essence, pourquoi ne pas revenir aux tilleuls et à leur parfum enivrant !"]

+["Le Vieux-Lyon, site historique, vivant, habité et durable \nLe projet de plantation d’arbres sur la place Saint-Jean est une très ancienne demande de la Renaissance du Vieux-Lyon\nEn 2020, un collectif citoyen d’acteurs-trices (habitant.es, commerçant.tes, associations), est né, mobilisation sans précédent, autour d’un objectif : la végétalisation du Vieux-Lyon. \nLe Vieux-Lyon présente un triple caractéristique qui en même temps constitue un triple défi :\n- défi patrimonial, historique et culturel au cœur du Site Patrimonial Remarquable (SPR),\n- défi naturel et végétal entre Saône, colline et Parc des Balmes,\n- défi thermique lié au réchauffement climatique.\n\nLa place St-Jean, au cœur du quartier Saint-Jean, minérale et totalement exposée au soleil, subit une chaleur permanente tout au long de la journée durant l’été.\n L’intention est ici de planter deux arbres, le premier dans l’angle nord-ouest de la place (au niveau du 7 place Saint-Jean) et le second situé au sud-est à l’angle du bâtiment du Centre scolaire des Lazaristes proche de la place Edouard Commette (au niveau du 3 place Saint-Jean). Cela permettrait de ne pas masquer les bâtiments remarquables.\n Les pieds de ces arbres seraient végétalisés et associés à l’installation de bancs de repos ou à palabres.\n\nValeur Patrimoniale\nLe concept de végétal patrimonial est ici particulièrement manifeste. Le projet présente en effet une valeur patrimoniale et symbolique forte du fait qu’on découvre ces arbres à travers différents plans et autres documents parus sur une période de 5 siècles.\nOn observe que les arbres qui ont été présents sur la place Saint-Jean ont été, entre autres, des chênes.\n Ils constituent, d’un point de vue historique, des éléments remarquables contribuant à valoriser l'environnement patrimonial et à lui rendre son atmosphère vivante d’antan, tout en permettant de s'asseoir à l'ombre pour admirer la façade occidentale de la cathédrale.\n\nLes raisons :\n1/ L’inconfort d’une place exclusivement minérale La place Saint-Jean est la seule du Vieux-Lyon à être privée de verdure. Les personnes et les groupes n’ont rien pour se protéger du soleil lorsqu’ils s’attendent pour un rendez-vous et lorsqu’ils contemplent et commentent la cathédrale et les maisons canoniales. La chaleur en été est de plus en plus forte et pourrait être réduite par un peu de végétation et d’ombrage.\n2/ Une (petite) contribution à la lutte contre les changements climatiques Ce ne serait qu’une goutte d’eau, mais c’est ce que nous pouvons faire à cet endroit.\n3/ Pendant plusieurs siècles, il y a eu deux arbres sur la place Nous allons en suivre l’existence pendant quatre siècles dans « Le Pardon annuel à Saint-Jean de Lyon ». Il s’agit de deux gros livres de 1914 et 1918 dans lesquels Alphonse Sachet décrit l’évolution du Pardon mais aussi toute la vie liturgique et matérielle du grand cloître de Saint-Jean de 1393 à 1790. \nCes livres sont consultables à la Bibliothèque de l’Académie et à la médiathèque municipale.\nTome 1 - Page 232, est indiquée la présence de DEUX ORMES, l’un au sud, l’autre au nord de la fontaine, pour la période 1393-1476\nTome 2 - Pages 322-323, DEUX TILLEULS sont plantés en 1603 remplaçant les ormes. Pages 564-565, les vieux tilleuls sont abattus sans être remplacés, sur décision du chapitre des chanoines, en 1780.\n\nLe Projet\nNous n’envisageons pas de reproduire la disposition historique des arbres, afin de préserver les vues sur la cathédrale et sur les maisons canoniales des XVIIe et XVIIIe siècles.\nAu sujet du choix de l’essence, pourquoi ne pas revenir aux tilleuls et à leur parfum enivrant !"]

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+["Le Vieux-Lyon, site historique, vivant, habité et durable \nLe projet de plantation d’arbres sur la place Saint-Jean est une très ancienne demande de la Renaissance du Vieux-Lyon\nEn 2020, un collectif citoyen d’acteurs-trices (habitant.es, commerçant.tes, associations), est né, mobilisation sans précédent, autour d’un objectif : la végétalisation du Vieux-Lyon. \nLe Vieux-Lyon présente un triple caractéristique qui en même temps constitue un triple défi :\n- défi patrimonial, historique et culturel au cœur du Site Patrimonial Remarquable (SPR),\n- défi naturel et végétal entre Saône, colline et Parc des Balmes,\n- défi thermique lié au réchauffement climatique.\n\nLa place St-Jean, au cœur du quartier Saint-Jean, minérale et totalement exposée au soleil, subit une chaleur permanente tout au long de la journée durant l’été.\n L’intention est ici de planter deux arbres, le premier dans l’angle nord-ouest de la place (au niveau du 7 place Saint-Jean) et le second situé au sud-est à l’angle du bâtiment du Centre scolaire des Lazaristes proche de la place Edouard Commette (au niveau du 3 place Saint-Jean). Cela permettrait de ne pas masquer les bâtiments remarquables.\n Les pieds de ces arbres seraient végétalisés et associés à l’installation de bancs de repos ou à palabres.\n\nValeur Patrimoniale\nLe concept de végétal patrimonial est ici particulièrement manifeste. Le projet présente en effet une valeur patrimoniale et symbolique forte du fait qu’on découvre ces arbres à travers différents plans et autres documents parus sur une période de 5 siècles.\nOn observe que les arbres qui ont été présents sur la place Saint-Jean ont été, entre autres, des chênes.\n Ils constituent, d’un point de vue historique, des éléments remarquables contribuant à valoriser l'environnement patrimonial et à lui rendre son atmosphère vivante d’antan, tout en permettant de s'asseoir à l'ombre pour admirer la façade occidentale de la cathédrale.\n\nLes raisons :\n1/ L’inconfort d’une place exclusivement minérale La place Saint-Jean est la seule du Vieux-Lyon à être privée de verdure. Les personnes et les groupes n’ont rien pour se protéger du soleil lorsqu’ils s’attendent pour un rendez-vous et lorsqu’ils contemplent et commentent la cathédrale et les maisons canoniales. La chaleur en été est de plus en plus forte et pourrait être réduite par un peu de végétation et d’ombrage.\n2/ Une (petite) contribution à la lutte contre les changements climatiques Ce ne serait qu’une goutte d’eau, mais c’est ce que nous pouvons faire à cet endroit.\n3/ Pendant plusieurs siècles, il y a eu deux arbres sur la place Nous allons en suivre l’existence pendant quatre siècles dans « Le Pardon annuel à Saint-Jean de Lyon ». Il s’agit de deux gros livres de 1914 et 1918 dans lesquels Alphonse Sachet décrit l’évolution du Pardon mais aussi toute la vie liturgique et matérielle du grand cloître de Saint-Jean de 1393 à 1790. \nCes livres sont consultables à la Bibliothèque de l’Académie et à la médiathèque municipale.\nTome 1 - Page 232, est indiquée la présence de DEUX ORMES, l’un au sud, l’autre au nord de la fontaine, pour la période 1393-1476\nTome 2 - Pages 322-323, DEUX TILLEULS sont plantés en 1603 remplaçant les ormes. Pages 564-565, les vieux tilleuls sont abattus sans être remplacés, sur décision du chapitre des chanoines, en 1780.\n\nLe Projet\nNous n’envisageons pas de reproduire la disposition historique des arbres, afin de préserver les vues sur la cathédrale et sur les maisons canoniales des XVIIe et XVIIIe siècles.\nAu sujet du choix de l’essence, pourquoi ne pas revenir aux tilleuls et à leur parfum enivrant !"]

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+["Le Vieux-Lyon, site historique, vivant, habité et durable \nLe projet de plantation d’arbres sur la place Saint-Jean est une très ancienne demande de la Renaissance du Vieux-Lyon\nEn 2020, un collectif citoyen d’acteurs-trices (habitant.es, commerçant.tes, associations), est né, mobilisation sans précédent, autour d’un objectif : la végétalisation du Vieux-Lyon. \nLe Vieux-Lyon présente un triple caractéristique qui en même temps constitue un triple défi :\n- défi patrimonial, historique et culturel au cœur du Site Patrimonial Remarquable (SPR),\n- défi naturel et végétal entre Saône, colline et Parc des Balmes,\n- défi thermique lié au réchauffement climatique.\n\nLa place St-Jean, au cœur du quartier Saint-Jean, minérale et totalement exposée au soleil, subit une chaleur permanente tout au long de la journée durant l’été.\n L’intention est ici de planter deux arbres, le premier dans l’angle nord-ouest de la place (au niveau du 7 place Saint-Jean) et le second situé au sud-est à l’angle du bâtiment du Centre scolaire des Lazaristes proche de la place Edouard Commette (au niveau du 3 place Saint-Jean). Cela permettrait de ne pas masquer les bâtiments remarquables.\n Les pieds de ces arbres seraient végétalisés et associés à l’installation de bancs de repos ou à palabres.\n\nValeur Patrimoniale\nLe concept de végétal patrimonial est ici particulièrement manifeste. Le projet présente en effet une valeur patrimoniale et symbolique forte du fait qu’on découvre ces arbres à travers différents plans et autres documents parus sur une période de 5 siècles.\nOn observe que les arbres qui ont été présents sur la place Saint-Jean ont été, entre autres, des chênes.\n Ils constituent, d’un point de vue historique, des éléments remarquables contribuant à valoriser l'environnement patrimonial et à lui rendre son atmosphère vivante d’antan, tout en permettant de s'asseoir à l'ombre pour admirer la façade occidentale de la cathédrale.\n\nLes raisons :\n1/ L’inconfort d’une place exclusivement minérale La place Saint-Jean est la seule du Vieux-Lyon à être privée de verdure. Les personnes et les groupes n’ont rien pour se protéger du soleil lorsqu’ils s’attendent pour un rendez-vous et lorsqu’ils contemplent et commentent la cathédrale et les maisons canoniales. La chaleur en été est de plus en plus forte et pourrait être réduite par un peu de végétation et d’ombrage.\n2/ Une (petite) contribution à la lutte contre les changements climatiques Ce ne serait qu’une goutte d’eau, mais c’est ce que nous pouvons faire à cet endroit.\n3/ Pendant plusieurs siècles, il y a eu deux arbres sur la place Nous allons en suivre l’existence pendant quatre siècles dans « Le Pardon annuel à Saint-Jean de Lyon ». Il s’agit de deux gros livres de 1914 et 1918 dans lesquels Alphonse Sachet décrit l’évolution du Pardon mais aussi toute la vie liturgique et matérielle du grand cloître de Saint-Jean de 1393 à 1790. \nCes livres sont consultables à la Bibliothèque de l’Académie et à la médiathèque municipale.\nTome 1 - Page 232, est indiquée la présence de DEUX ORMES, l’un au sud, l’autre au nord de la fontaine, pour la période 1393-1476\nTome 2 - Pages 322-323, DEUX TILLEULS sont plantés en 1603 remplaçant les ormes. Pages 564-565, les vieux tilleuls sont abattus sans être remplacés, sur décision du chapitre des chanoines, en 1780.\n\nLe Projet\nNous n’envisageons pas de reproduire la disposition historique des arbres, afin de préserver les vues sur la cathédrale et sur les maisons canoniales des XVIIe et XVIIIe siècles.\nAu sujet du choix de l’essence, pourquoi ne pas revenir aux tilleuls et à leur parfum enivrant !"]

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Auteur de la version

RENAISSANCE VIEUX-LYON

Version créée le 08/12/2024 20:06