Changements sur "Un banc tous les 50 m"
Titre (Français)
- +Un banc tous les 50 m
Corps du texte (Français)
- +Tout est dit.
- +J'ai été frappée du sentiment de ville accueillante qu'on ressent à l'étranger dans ces villes peuplées de bancs. En bois, en fer, en pierre, inclus dans les murs, rebords salutaire pour se reposer, s'arrêter, contempler.
- +Les bancs nous disent "tu as le droit de t'arrêter, tu as le droit de ralentir". Ils offrent un micro-lieu de rencontre. On s'assoit à côté d'un inconnu pour manger un sandwich et c'est un peu de mixité même si on ne se parle pas. Ce n'est pas l'entassement des corps des transports en commun : on a choisit de partager un lieu.
- +Plus prosaïquement, de nombreux citoyens ont BESOIN de s'arrêter souvent dans leurs déplacement en ville. Personnes âgées, mais aussi tant d'autres!
- +Et enfin, le banc, qui est une sorte de main de la ville qui prend soin de ses habitants, suggère qu'il y a quelque chose à regarder, que cette rue est belle, que cette perspective peut régaler notre regard.
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