Changements sur "Placer les girafes du zoo du parc de la Tête d’Or dans un sanctuaire et transformer leur enclos en un mini-musée de sensibilisation"
Adresse
- +Parc de la Tête d'Or, Allée de l'Orangerie, 69006 Lyon
Titre (Français)
- +Placer les girafes du zoo du parc de la Tête d’Or dans un sanctuaire et transformer leur enclos en un mini-musée de sensibilisation
Corps du texte (Français)
- +Les girafes sont des animaux qui souffrent énormément de la captivité. À l’état sauvage, elles passent le plus clair de leur temps éveillé à manger et se déplacer. Au zoo du parc de la Tête d’Or, elles sont entravées dans ces comportements :
- +- En captivité, il est impossible de mettre à disposition des girafes une grande variété de végétation comme celles qu’il y a dans leurs espaces naturels. Elles sont donc privées de pouvoir brouter comme elles le font normalement.
- +- Dans la nature, leur territoire moyen peut aller jusqu’à 500 km2, mais à Lyon leur espace extérieur est sensiblement plus petit (sans parler de l’espace intérieur).
- +- D’autres problèmes peuvent également être mentionnés comme l’imposition des groupes sociaux, de surcroît très réduits alors que les groupes de girafes peuvent être composés de plusieurs centaines d’individus, ou encore des soucis de santé dûs à une alimentation ou des sols inadaptés.
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- +Au regard de ces éléments, il est urgent de placer les girafes du zoo de Lyon dans un sanctuaire qui pourra leur offrir des conditions plus adaptées. L’association Free Life a déjà fait une proposition de placement à la mairie de Lyon. À ce jour, la mairie n’a pas donné suite.
- +Notre projet consiste donc à ce que les girafes soient transférées dans un sanctuaire, et que leur ancien enclos soit transformé en un mini-musée visant à sensibiliser sur :
- +- les besoins et comportements des girafes et à ce qu’elles vivent en captivité ;
- +- les menaces auxquelles elles font face à l’état sauvage (la perte de leurs habitats et de leurs sources de nourriture, ainsi que la chasse).
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- +Le contenu du musée pourrait prendre les formes suivantes :
- +- un reportage sur leur transfert vers un sanctuaire diffusé continuellement ;
- +- les visiteurs pourraient parcourir l’ancien enclos intérieur et extérieur des girafes, avec des panneaux expliquant les problématiques (enclos petit, pas de végétation pour brouter, besoin de les rentrer la nuit et en hiver du fait des températures froides…) ;
- +- des ateliers ludiques participatifs à destination des enfants ;
- +- une partie de la visite aborderait l’état des populations de girafes à l’état sauvage et une autre partie informerait les visiteurs sur l’éthologie de cet animal.
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- +Source : Dossier de Born Free “Confined giants: The Plight of Giraffe in European Zoos” https://www.bornfree.org.uk/resource/confined-giants-the-plight-of-giraffes-in-european-zoos/
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