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Cette proposition n'a pas été retenue parce que :

Merci d'avoir partagé votre idée ! L'étude préalable à la restauration de Saint-Pothin est inscrite dans le 4e convention patrimoine Etat-Ville. Elle sera lancée par la Ville en 2024. Elle permettra de donner un estimatif de budget clair afin d'arbitrer l'inscription de cette restauration dans la 5e convention patrimoine qui démarre en 2025. 

Réparer les beaux vitraux de l’église St-Pothin

Avatar: DOAT DOAT

Non retenue
Les vitraux de l’église St-Pothin, inscrite à l’Inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, sont très beaux. Ils ont été réalisés par le maître-verrier Lucien Bégule (1848-1935) et son fils Emile Bégule (1880-1972), dont l’atelier tenait une place importante à Lyon dans l’art des vitraux civils et religieux fin XIXème et début XXème. La nef présente de chaque côté une galerie de personnages illustres ayant marqué la vie lyonnaise (Pothin, Blandine, etc.). Y figurent aussi des figures « nationales » telles que Clotilde, princesse burgonde, femme de Clovis, reine des Francs, qui l’aida à vaincre les Alamans lors de la fameuse bataille de Tolbiac en 496. On y voit également Geneviève, née en 420, patronne de la ville de Paris : en 451, lors du siège de la ville par les Huns, grâce à sa force de caractère, elle réussit à remobiliser les Parisiens découragés et les incite à résister, ce qui a fait qu’Attila a renoncé à attaquer la ville. Plus tard, elle a renouvelé ses exploits en forçant à plusieurs reprises le blocus de la ville par Childéric Ier et en ravitaillant les habitants. La réalisation de ces vitraux se situe dans le grand élan patriotique qu’a connu la France à partir de 1870 et en cela, en plus d’être beaux et de très belle facture, ils sont un témoignage historique. Malheureusement, malgré des grilles de protection à l’extérieur, plusieurs sont abimés, troués même, comme le montre la photo jointe. On sait que si on laisse une petite dégradation sur un monument, une œuvre d’art, c’est finalement toute l’œuvre qui finit par être très détériorée. Il faudrait donc réaliser un état des lieux des vitraux et entreprendre la restauration de ceux qui sont abimés, à l’image de ce qui a déjà été fait pour la grande coupole. Quel dommage que la restauration entamée alors n’ait pas été menée jusqu’à terme !

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